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Mille autres aecldens » bowrejwxf}e nostre yie ;
Lui, selon sa raison, souz eux il s’est soumis,
Et, forçant la nature,’Ules a pour amis
Il n’est point enrpmé pour dormir sur la terrée ;
Son poulmon enflammé ne touase le flaterrc »
Il ne craint ni les dents ni les défluxions,
Et son corps a, tout sain, libres fees fondions ;
En tout indifférent, tout est à son usage»
On dira qu’il est (ou p jé^oroi .qu’il nfesfc pas sage ;
QuoDiogèoeaussifustunfoUfletop^ point,
C’est.ce que leCoueio, comme moi ne croit point»
Ainsi ceste raison est une ëstrango bestet .
On l’a bonne selon qu’on a bonne la teste ;
Qu’on imagine bien, du sens comme de l’œil »
Pourgrain no prenant paille, ou Paris pour GorbeiUet