Page:Nerval - Choix des poésies de Ronsard, 1830.djvu/282

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Et o’esç ainsi> grand Dieu 1 que variant le sort,
- 9^B9ii^p#T :««iCïepStl|^ ’^^Cp^U^ÏMèfnt leurs gloires Y
De vergogne éperdiis \ voyent en nos victoires,
Leur honte et no| !Mft#^r,)to :3t ;r> vie et leur mort.
Ils se réjouissoient de nous voir en tristesse ;
Nos pleurs étqient leurs ris, nos pertes leur richesse,
Nos peines leur repos, nos hivers leur printemps.
Tous nos jou|âJdetem^e8te étéient leurs jaur^de cajnre
Nos plalsir^W ^,
Et nosîfN^lMuvieNjXile plua (deilaur te.m ;pg» <}
Mais en moins d’un moment confondus en leurs trames
Ils frémlssetiftidfeeirtUrï
Tant d’Injustes dessein ) conjure,nous projettes ;
A l,ceil]pav j1au’t«inbi :ougq, ^,la&ce plp^^p,, ;, o
Sera le plus doux fruit de leurs impiétés.