Page:Nerval - Choix des poésies de Ronsard, 1830.djvu/190

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Ou bien que lo greffier, comme >Wh Astolphe, en bref
Luy soufle d’un çorhétlé sens dédans le chef, :
S’il vepl.qttpla.swHpip^r f-jamajsîj^lgevifiWïe1..
11 faut que par ri.euf jours fle,ulemppt il s’âhs^iepne
(Non pa^4e.m,angerchaîr^Ry^Pb
Mais cîp,lire etdpfifoiregu^mwm çleÇalfjip,,,
Abjurer soaorreuj^,... :,,
Ne traîner p}us a.u cprp.stlqpp au,e, inj^rje^se »
Ne tourmenter plus Dieu d’opinions, et lors
Sa premièrç sapté luy va repérer a,u corps.
Or sus, changeons jprôpos, et parlons d’autre chose
Tu dis qufupe sourdesse à m on oreille closp :
Tu te’ mocques de moy ot me Viens blasonner
Pour un pauvre Accident que Dieu me Veut donner.
Nouvel évangéllsté, insensé, plein d’outrage,
Vray enfant de Satan, dy moy en quel passage A
Tu trouvés qu’un chreslien (s’il n’est bieri 1 enragé)
Se doive OPinriie toi mooquér d’un affligé i
Ta langue^bnstre bieh aux brocards quelle rue »
Que tu portés, au corps urie aiive bien tortue »
Quoy ? est-ce \ë pïOflt, et lofruict que tu’fais,
En préscnant l’Évangile où tu ne crèus jamais ?
Que tu le moctJUés bien de l’Ëscriture sainte,
Ayant le Cocu^ meschant,’ct là pôidlê feinta !