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Quikde leur propre sang à tous périls de guerre
Ont acquis à leur fils urfe si bielle terre t
Que dironyan,|de %cs çt t|n{ :’d’holni#08 guerrier
Qui sont morts^d’u^e playe au combat les premiers,
Et pour France ont souffer^tfatU,de labeurs extrêmes,
La voyant aijjourd’huy destruirp par soy-mesmesf
Ils se repentiront d’avoir tant travaillé,
14 Àsôailly, défendu, guerroyé, bataillé,
Pour un peuple fîiutin, divisé de courage,
Qui perd ; en se jouant un «i bel he^ritige.. .

. MADAMB, je serois ^u de plpmb ou de bois»
Si moy,que la nature a fait naistre François».
Aux raées à venir je ne contois la (peine
Et l’extrême malheur dont notre Franoe est pleine»
Je veux de siècle en siècle au monde publier» ^
D’une plume de fer sur un papier d’acier,
Que ses propres enfants l’ont prise et dévestue,
Et jusque à la mort vilainement batue.
Elle semble au marchand accueilli do malheur,
Lequel au coing d’un bois, Yencontrc le volleur,