Bretons, etc. ; lés poèmes chevaleresques, tels que le St.-Graal, Tristan, Partenopev, Lance-» lot, etc. ; les poèmes allégoriques, tels que le roman de la Rose^ du Renard, etc., et enfin toute la poésie légère, chansons, ballades, lais, chants royaux, plus la poésie provençale ou y romane toute entjère.
La seconde comprend les mystères, mora- lités et farces (y compris Patelin)) les fabliaux, contes, facéties, livres satyriques, noels, etc., toutes œuvres où le plaisant dominoit, mais qui ne laissent pas d’offrir souvent des mor- ceaux profonds ou sublimes, et des enseigne- mens d’une haute morale parmi des flots de gaité frivole et licencieuse.
Hé bien ! qui n’eut promis.l’avenir à une littérature aussi forte, aussi variée dans ses élémens, et qui ne s’étonnera de la voir tout à coup renversée, presque sans combat, par une poignée de novateurs qui prétendoiënt ressusciter la Rome morte depuis seize cents ans, la Rome romaine, et la ramener victo- rieuse, avec ses costumes, ses formes et ses