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et tu as mal interprété… Maintenant, il est trop tard ! » Je me levai plein de terreur, me disant : — C’est mon dernier jour ! À dix ans d’intervalle, la même idée que j’ai tracée dans la première partie de ce récit me revenait plus positive encore et plus menaçante. Dieu m’avait laissé ce temps pour me repentir, et je n’en avais point profité. — Après la visite du convive de pierre, je m’étais rassis au festin !