Page:Nerciat - Monrose, 1871.djvu/982

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
215
MONROSE


milord Sidney recommença de parfaitement traiter son épouse ; il alla même (tant l’air de Paris a de vertu !), il alla, dis-je, jusqu’à fêter l’aimable Garancey, dès qu’il put soupçonner que celui-ci pouvait le suppléer agréablement auprès de milady ma sœur : milord avait enfin la justice de sentir qu’elle ne devait pas être à jamais privée de ce qui plaît infiniment aux dames, parce que dans un moment d’humeur il se serait fait déviriliser par un tireur dangereux.