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MONROSE


d’irréparables à des êtres que l’on sait m’être chers. Le tragique ne me contriste plus, dès qu’il n’offre pour victimes que des individus étrangers à mon cœur, ou plutôt j’avoue que je trouve un plaisir, quoique peut-être peu généreux, à voir châtier qui s’est rendu vilainement coupable. Je vais donc surmonter ma répugnance à tracer des scènes d’afflictions et de sang, et vous raconter, cher lecteur, non pas toutefois avec le ton et la complaisance d’un d’Arnaud, les sombres aventures que ce qui précède peut déjà vous avoir fait pressentir.


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