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MONROSE


là on lui fit toucher encore le canon d’un pistolet… Pendant toute cette manœuvre, le pauvre Julien grelottait de peur… Le reste des vues de cet étrange somnambule s’expliquait par une pantomime où le pauvre petit, bien honteux, aurait fort désiré de ne point figurer. Mais à la moindre résistance, il sentait le bout du fatal pistolet s’appuyer contre l’occiput. « Vaut mieux tard que jamais ! » lui dit-on après une infamie qui ne peut se décrire… Alors l’homme ou le démon qui s’en était rendu coupable disparut. »