Page:Nerciat - Monrose, 1871.djvu/752

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


QUATRIÈME PARTIE




CHAPITRE PREMIER

CE QUE C’ÉTAIT QUE SIR GEORGES BROWN


Cher lecteur, si jamais, un nouveau visage se présentant à vos yeux, il vous arrive que sa physionomie, quelque beaux que puissent être les traits, vous déplaise, vous repousse, tenez-vous pour averti que vos atomes crochus ne s’engageront point avec succès dans les boucles de l’être antipathique. La nature, qui n’a pas le temps de nous parler en détail, le fait par des signes prompts comme l’éclair, et qui signifient beaucoup, si l’on a la sagacité de les comprendre. Manquons-nous d’attention ou d’adresse, l’instant qu’elle nous donnait est perdu sans

  4
1