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CHAPITRE XX

OÙ LE HÉROS SE PERD DANS LA FOULE SANS
CESSER DE BRILLER[1]


Bientôt j’eus lieu de m’applaudir sur tous les points de ma doctrine copulative. Ces dames se trouvèrent d’une docilité qui m’étonna. Il ne m’avait fallu qu’un quart d’heure d’entretien particulier pour décider ma pupille à ce que je sollicitais en faveur de d’Aiglemont. En même temps que ce nouveau vainqueur faisait ici sa triomphante entrée, Garancey se vengeait, sans le savoir, dans les bras de l’adorable épouse de

  1. Ce long chapitre est d’une telle force dans le genre qu’on peut le nommer de la corruption, et Félicia s’y jette dans de si bizarres sophismes, que si, de peur de trahir nos devoirs, nous n’avons osé le supprimer, nous invitons du moins le lecteur à le franchir, d’autant mieux qu’on le peut faire sans perdre le fil de l’histoire. (Note de l’éditeur.)