Page:Nerciat - Monrose, 1871.djvu/468

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
213
MONROSE


jamais devenue malade faute d’aimer. Le remède s’offre par miracle à madame Faussin, elle en fait usage ; aussi s’épargne-t-elle une passion, la fièvre chaude de l’âme, et tous les autres accidents. Son aventure doit donc être regardée comme une médecine de précaution qui épargne une grande maladie. Or, qui ne sait qu’une rétention d’amour est mortelle !