ciles à suivre, dès qu’on se sera dépouillé,
comme on se le propose, de ce cynisme qui
compose bien plus le délire d’une secte de
maniaques enfiévrés que la voluptueuse
ivresse d’une société d’épicuriens aimables.
La grande rotonde est une espèce de temple sans aucune décoration apparente au dehors. Un corridor de neuf pieds de large, flanqué de deux petites nefs proportionnées, conduit, par une double file de douze colonnes, du péristyle, fort simple, à l’entrée principale. On se trouve alors dans une enceinte vaste, formée d’un cercle de vingt-quatre colonnes de la plus belle proportion composite ; distantes de centre à centre de neuf pieds, elles supportent l’entablement convenable, que couronne une élégante balustrade. Derrière les colonnes isolées tourne un espace large de neuf pieds dans œuvre, des plinthes des bases au mur. Ce trottoir donne accès dans différentes pièces. Nous aurions eu plus d’une occasion de parler de leurs objets variés, mais si près d’être forcé à nous interrompre, nous devons épargner au lecteur la