porte et fait un pas au-devant de madame
de Mottenfeu.)
La Comtesse (encore dans le corridor). — Eh bien ! la belle fauvette est donc enfin dans notre cage ? (Rentrant et voyant Zéphirine.) Ah ! (Étonnée.) c’est la perfection ! (Elle se jette au cou de Zéphirine et lui donne un baiser du genre le plus polisson.)
Zéphirine. — On m’a prévenue, madame la comtesse, des bontés infinies que, sans me connaître, vous vouliez bien vous proposer d’avoir pour moi. Ma reconnaissance…
La Comtesse (gaiement). — Quelle folie ! C’est à nous, au contraire, à vous remercier de nous avoir fourni l’étoffe d’une aussi plaisante récréation. Va, va, friponne ! (Elle lui prend amoureusement le menton.) pour mon compte, je prévois que tu m’auras bientôt et qu’à mon tour je t’aurai des obligations bien plus essentielles… Quel œil ! Durut, quelle peau ! (Elle veut fourrager.)
La Durut. — Allons d’abord au solide ;