Page:Nerciat - Les Aphrodites, 1864.djvu/322

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

JEAN S’EN ALLA COMME IL ÉTAIT VENU.




TROISIÈME FRAGMENT (même lieu).




Cependant la boutade de messieurs de Boutavant, Durengin et Mâlejeu, dérangeait étonnamment l’ordre que madame Durut avait imaginé pour la retraite, comme pour l’entrée elle s’était fait admirer. Les tenantes, les tenants rajustés, tous les petits servants des deux sexes s’étaient amassés dans le trottoir, par pelotons partagés entre les trois groupes, et se livraient à la plus folle joie. Les spectateurs des loges, à découvert, riaient, encourageaient, applaudissant à tout rompre. La musique avait cru devoir répéter, avec la plus extrême vivacité, le morceau