découvre.) Tu n’as, pas eu le loisir d’y faire
attention. Nous venons de nous harponner
si brusquement, une reconnaissance a
quelque chose de si vif ! Mais, tiens, examine
maintenant ! (Elle montre en entier
ses tétons.) Vois-tu ? Ces messieurs-là ne
sont-ils pas toujours à la même place où tu
les vis, il y a bien cinq ans, pour la première
fois ?
Le Chevalier (les baisant). — Toujours divins !
Madame Durut. — Sont-ils étayés ! ont-ils fait la paix ?
Le Chevalier (les maniant). — C’est toujours la plus, belle contenance et la plus opiniâtre bouderie.
Madame Durut (changeant de posture). — Et ce cul superbe, que tu trouvais tant de plaisir à caresser. (Elle le met en évidence.) Le premier cul, je crois, que tu aies vu de ta vie ?
Le Chevalier (le caressant). — Et le plus attrayant que j’aie jamais rencontré.
Madame Durut. — Eh bien ! touche, manie ; a-t-il rien perdu de ses belles formes, de son poli, de son élasticité ?