Page:Nerciat - Le Diable au corps, 1803.djvu/764

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
168
LE DIABLE AU CORPS.

LA MARQUISE.

Ces détails commencent à me fatiguer. Est-ce tout ?

LE COMTE.

Encore un article : —

(Il lit.)


20e. couple. — Le Chevalier de Pasimou : Madame des Clapiers.

(Parlé.)


Je les ai fureté tous deux, ces Clapiers-là. J’en connais peu d’aussi logeables…

LA MARQUISE.

Vaurien, taisez-vous. —

(À la Comtesse.)


Il va nous faire encore quelque commentaire saugrenu.

LE COMTE.

Vous m’attaquez ! Eh bien, pour vous faire enrager, j’ajoute, avec fondement, que je crois avoir aussi pratiqué ce Pasimou, tandis qu’il portait la soutane. Voyons la note :

(il lit.)


le plus beau jeune homme qu’on puisse voir, et peut-être le plus aimable. Ci-devant abbé,

(Parlé.)


Tout juste ; c’est le même.

(Il lit.)


c’est maintenant un excellent officier.

(Parlé.)