brune, dont il se fait des moustaches, a de
nouveau celui du frais, du blanc, du rond, de
l’archi-desirable postérieur de la blonde, et d’une
chûte de reins unique, sur laquelle se joue cette
belle chevelure cendrée, dont nous avons fait
l’éloge ailleurs. Dès-lors, l’ame du capricieux
fellateur se partage entre ce con ravissant qu’il
pompe, et ce cul céleste qu’il fout des yeux, ne
pouvant mieux faire pour l’instant. Bientôt le
délire des deux amies est sans bornes, leur fougue,
leurs accens inexprimables montent l’excès
l’imagination de l’acharné libertin : les diaboleni,
les pastilles operent en ce moment à proportion
de la dose outrée qu’il en a prise ; il brûle, il
est dévoré. Déja dans sa rage, il pense à mâter
de sa propre main son effréné boute-joie, qui ne
saurait plus demeurer oisif. Par bonheur, au
même instant, Nicole, expédiée et calmée, passe
une jambe par-dessus la tête du paillard, et se
dérobe, le laissant à portée de Philippine, moins
prompte à changer de position. Il n’a qu’un mouvement
à faire pour atteindre la croupe enchanteresse
de cette beauté : comme elle veut se lever,
il la retient, elle retombe sur ses mains, trop
affaiblie pour pouvoir se défendre, trop en rut
pour avoir l’intention de résister. Elle se prête et
le Tréfoncier… (ô miracle !) braque son pénil
presque roide et l’enfonce… où ? disons où il
sent qu’il lui est le plus facile de pénétrer, c’est--
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LE DIABLE AU CORPS.