frottait, me maniait, me retournait, m’admirait…
et me faisait admirer à mon tour ce
qu’elle croyait avoir de superbe. — Vois, mon
petit, comme cela est dodu ! prends-moi ce
teton… et celui-ci… (l’un après l’autre, car il
ne m’était pas possible, n’ayant que deux mains,
de tenir ces deux Messieurs à la fois.) Baise-moi
ce bouton. (J’en avais la bouche pleine.)
— Puis se retournant vîte et la croupe élevée :
— Tiens, mon bougre, puisque tu aimes les
culs, voilà un cul, celui-là…
Je gage que l’eau vous vint à la bouche ?
Pourquoi n’en pas convenir ? Je crus qu’il n’y avait plus qu’à pousser, moi : j’allais tout bonnement.
Quelle docilité !
Mais aussi-tôt, crac… ma diablesse à plat-ventre ! — Comme il y va, ce petit merlan ! il ne faut que lui en montrer ! Pas d’ça, Lisette ! Quand ce serait un Prince ! Ça s’voit, mon ami : ça s’magne[1], passe pour ça ; mais dam ! on n’y met rien… — Je me contentai donc de ce qui m’était permis… Eh bien ! qu’en dis-tu ? voilà de la chair ? cela vous met son monde en train ? — Par malheur, ces dernieres réflexions
- ↑ Pour, cela se manie.