en même tems sur sa chaise longue, entraînant sur elle
Hector. Le Tréfoncier reparaît : la Marquise presse Hector
avec fureur contre son sein, en lui donnant des baisers
mordans. Enfin, elle l’introduit à fond dans le sanctuaire
des vrais plaisirs.)
À nous deux pour le coup.
Que n’avez-vous eu quelques instans plutôt cette heureuse inspiration ! Nous aurions pu dire à nous trois !
Laisse-nous en repos, vilain homme.
(Elle lui tend en même tems un petit coup de pied d’un air badin. Ensuite elle se livre aux caresses d’Hector avec la derniere vivacité. Leurs accens passionnés retentissent dans le boudoir. Ils goûtent les délices suprêmes. — Pendant cette charmante scene, le Tréfoncier, rajuste ses cheveux, son rabat, son ordre, et défroisse son manteau. Il paraît attendre un entr’acte pour dire quelque chose ; mais voyant qu’après un moment de complet anéantissement, des mouvemens réciproques, d’abord assez doux, vont en croissant, et prédisent une seconde jouissance, liée, sans intervalle, à la premiere…)
Ils recommencent. Dieu me damne !
à ce qu’il dit.)
Oh parbleu ! je