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ARGUMENT.

La Marquise, qu’on a vu figurer dans les deux premieres parties de cet ouvrage, devint bientôt veuve. Heureusement pour elle, son époux n’avait pas assez long-tems vécu pour que la fortune, dont elle l’avait fait jouir, fut considérablement diminuée ; elle était donc fort à son aise, et libre, à l’époque de la scene qu’on va voir. On suppose, afin de ne pas avoir mauvaise opinion de la Dame, que six mois, du moins, s’étaient écoulés entre la mort du Marquis et les nouvelles extravagances qu’on présente au lecteur.