» votre secours, auquel j’ai d’autant plus de
droit que le nom de M. le Marquis et le
vôtre ont été le signal du juste ressentiment
qui m’a fait violer les droits sacrés de la Nature
et de l’amitié. Vous allez, me sauver
ou me perdre… Craignez de mal choisir…
J’ai, etc. » Craignez de mal choisir ! cela
est souligné ! une menace ! Que pensez-vous
de tout cela ?
En premier lieu, qu’il est très-heureux pour tout le monde que le monstrueux Napolitain ne vive plus… Ensuite…
Que M. Bricon ne lui cede guere en scélératesse ?
Je ne sais s’il ne le surpasse pas encore. L’Abbé n’était qu’un effréné, perdu de luxure ; sans politique ; méritant mieux, avant son dernier excès, Bicêtre que l’échafaud. Mais Bricon ! c’est un grand faiseur, au moins…
Tout cela est horrible ! je suis glacée d’effroi.
C’est l’affaire du moment. Au fond, nous gagnons toutes deux beaucoup à cette catastrophe. Où nous aurait pu mener par la suite la fréquentation de ces deux scélérats !