tilités. Quand Labarre, ou tel autre du même
ordre, me tient dans ses bras, je le traite,
ma chere, tout aussi tendrement que s’il était
un Duc et Pair. Je reconnais, au reste, avec
un certain plaisir, que je suis bien mieux que
vous dans l’esprit de notre confrairie. Savez-vous
que vous êtes un peu fausse-sœur, et
que je suis bien tentée de vous dénoncer ?
Paix… Voici déja notre homme… Je l’entends fredonner dès l’escalier.
Et rien d’arrangé pour lui succéder ?
Il n’est plus tems. D’ailleurs, tout bien considéré, j’ai peur d’un Labarre, qui fait cela sept fois en trois heures.
J’aimerais,
en vérité, beaucoup mieux m’en convaincre
par moi-même, que d’exposer mon argent en
voyant le drôle si bien faire pour le compte
d’autrui.
Voilà ton bon sens revenu. — Oui, tu me prêteras une fois ton Chenu, je te prêterai mon Labarre ; cela vaudra mieux que Joujou, sois-en sûre… — C’est bien le Vicomte ; toujours il chante.