Page:Nerciat - Félicia.djvu/91

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

faisions colonie et que nous partions sous des auspices assez agréables, nous ne laissâmes pas d’entreprendre le voyage avec plaisir, et nous le fîmes si gaiement qu’une assez longue route ne me fit éprouver ni ennui ni fatigue.




Fin de la première partie.