Page:Nerciat - Félicia.djvu/166

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

donner mille marques d’estime et de libéralité aux nouveaux époux. Ils nous accompagnèrent avec les officiers de Sylvina jusqu’à un château peu distant, et qui dépendait de l’évêché. Monseigneur, qui avait les devants, nous y reçut à merveille. Enfin, après trois jours consacrés à fêter l’hymen, nous nous séparâmes, Sa Grandeur promettant de nous rejoindre bientôt, et le couple fortuné de soutenir dans tous les temps avec nous les liaisons d’une étroite amitié.




Fin de la seconde partie