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ne diray rien autre chose, sinon ce qui fut dit autrefois par Symmaque de semblables narrations, (…).

Ces preceptes et maximes communes estans si amplement expliquées, il ne reste plus pour accomplir ce titre de la qualité des livres, que d’en proposer deux ou trois autres, lesquelles seront indubitablement receuës comme extravagantes et tres-propres à heurter l’opinion commune et inveterée dans les esprits de beaucoup, qui n’estiment les autheurs que par le nombre ou la grosseur de leurs volumes, et ne jugent de leur merite et valeur que par ce qui a coustume de nous faire mespriser toutes les autres choses, sçavoir