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façon de leurs logemens pour placer leurs bibliotheques au moins mal qu’il leur est possible, il sembleroit quasi superflu d’en prescrire aucuns : et à dire vray je croy que c’est la seule occasion qui a meu tous les architectes à ne rien adjouster à ce qu’en avoit dit Vitruve. Toutesfois pour ne donner cet advis manque et imparfait, j’en diray briefvement mon opinion, afin qu’un chacun s’en puisse servir suivant qu’il en aura le pouvoir, ou qu’il la jugera veritable et conforme à sa volonté.

Pour ce qui est donc de la situation et de la place où l’on doit bastir ou choisir un lieu propre pour une bibliotheque, il semble que ce commun dire, (…),