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D’APRÈS SCHUMANN

PMf C/<M M<W

Maison blanche, maison pâte
Où sonnaient, tristes, tes voix,
Je ne sais plus où bleuit ta vallée
Comme éternellement automnale,
Mais ta pâleur vécut en moi.

Toutes tes poétisées

Qui m’ont souri sans tendresse
Ont encadré dans tes croisées
Leurs fiertés ou leurs morbidesses

Toutes, sous le portique ou !a brise pleure.
Ont eMeuré du parfum de leurs cheveux
Tes flottantes glycines frôteuses