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11 n’est ptus de sinistre ville
Souitinnt les pures ténèbres de jaïet
Où des lueurs fastes scintillent
Des flammes d’un soir diabolique et brouillé,
Dansantes aux piteux lacs d’Erèbe des naques
Plus de couchants factices de fluide or
Où de magiques étoffes ruissellent et craquent,
Se froissent sous des chairs de luxe et de décor.
(Les navrantes chairs plus radieuses !)
Rien n’est plus que les rochers veloutés de bois,
Que les falaises embaumées, silencieuses,
Puisque les encens en émoi
De mes ensorcelantes Heurs-fées,
De mes jacinthes aux parfums de ciel
Viennent au loin me faire accueil et comme appel
Et me jettent du rêve ami par bouffées.
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Qu’importe, à présent que vous me parlez tout bas,
Mes roses, mes charmeuses confidentes,
Tout ce stupre dolent dont j’ai souffert là-bas,
Froid complice aux curiosités malfaisantes?
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Et que me font ces cœur: qui n’ont jamais neuri
Ou qui se sont nétris de l’éclosion même,
Ces blessés répugnants qu’ont pansés le mépris
Et la risée et qui salissent quand ils aiment P–
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