Cette page n’a pas encore été corrigée
PAYS VAGUE
POM f. CoMMtr.
La plage s’alanguit, parée d’opales vertes
Sous le pâte et si lointain soleil d’or cendré,
La plage ondulante de blondes herbes,
Trëmuiante de souples branches qui trempent
Au flot de grandes fleurs comme teintées de clair de lune.
D’un rose clair de lune de rêve d’enfant
<
L’air a, tout ambré des genêts de la dune,
La douceur d’un rappel d’amoureuse souffrance.
w
<
Dans la profondeur comme songeuse de l’eau,
Atmosphère plus reûétante et cristalline,
Au voile plus transparent qu’une gaze d’aube,
Un rayon liquide illumine