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CAUCHEMAR

Pour Lion f<w<e<t<tr.

En les vitres d’une eau verdie

Stagnante haut dans la paroi,

Des fronts durs et des yeux narquois,
Qui semblent flotter sur un gouÛre nocturne,
Evoquent les ébauches de vies

Des grands fonds troubles et taciturnes.

Un tronçon de campanile efHorescent

Aux ajours de ciel sans base ni faite
Oscille aux bonds de monstrueuse* cloches en tête
Ouvrant et fermant leurs gueules luisantes
Sans que ric:i s’éveille en la mort du silence.

Une cime rougeâtre, isolée,

Monte d< ns la nue aux blanches fumées envolées,
Houleuse d’un grouillement d’insectes gravides
Sous d’affreux éclairs de métaux livides;