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1’2 HIERS BLEUS

< Et des clairières d’un vert de lune de Juin

< Que fréquentent des ombres câlines

< Dont vaguement et chèrement tu te souviens. »

<

< <

Et les petites ailes cristallines

Fuyaient à quelque bruit vers la nuit smaragdine
De l’informe Dommderr, l’arbre magicien,

Comme, plus tard, elles m’abandonnèrent,

Pour me revenir mais après si longtemps
Quand vos mensonges les chassèrent,

Hideux bouquins pseudo-savants

Et trop sûrement imbéciles,

Qui m’instillâtes de vos proses délétères

Mon premier désespoir complet d’exil.

H!

Cetui-ci dormait dans Poterne! soir
Des marronniers penchés sur les parterres
Et des murs frémissants de lierre

Aux hnsances de sombres miroirs
<