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JARDINS PERDUS

PoM- CAj/M 7eM

L’un me parut splendide et magique
Avec je ne sais quoi de grave sous les ondes
D’une lumière presque më!anco!ique
A force d’être intense, comme profonde
Et telle que je n’en revis jamais.

Tout. même les sentes ombreuses
S’y pénétrait du prodigieux

Sone azuré de la calme baie

Aux torpeurs divinement monotones
Où mon souvenir plonge et s’abandonne.

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Les grands oiseaux cruels des contes chinois
Innommés, inconnus, invisibles