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0 la source bleue en la combe rocheuse,
Sous tes cerisiers sauvages étoilés.
La lame grise se fait ample, sinueuse
Encore, plus fluide aux images tremblées,
Candeurs frêles qu’évoque un rêve des lys d’eau
Et voici, dans l’étreinte molle des coteaux,
Des intimités de verdure
Où fuse la nuée en veinules d’agathe,
Des cottages roses qu’on se figure
A demi éveillés sous l’abri délicat
Et moelleux des plantes grimpantes enroulées,
Tant semble doux et vague et trouble le regard
Comme lointain des vitres un rien embuées.
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0 passante une longue seconde entrevue
Sous le jour de brume
Qui filtrait comme iatal en ce hall blafard,
Si pâle, avec un si tendre et navrant sourire,
Avec ces yeux voilés de pleurs anciens, ces yeux d’or brun
Qu’il serait exquisement cruel, à travers la brume
Légère de ces fenêtres, spleen d’un sourire,
De regardertous deux la mort des fleurs sans nous rien dire,
Possédant quelque vieux deuil très cher en commun 1
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