HIMS BLEUS
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Et s’insinuant dans la tiédeur âcre
Des salles aux brumes bleuâtres,
Leurs émanations d’espaces divins,
Révélatrices de hautes et calmes tendresses,
Corrigent les fumets lourds des chairs et des vins,
Adjuvant le pouvoir digestif des londrès
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Choses pour les promeneurs graves
Qui les critiquent distraitement
Leur terre mesurée, esclaves
Des symétries et des alignements,
Les fleurs et les verdures qu’oppriment
Les AorMM combatifs
Ont des airs de belles victimes
Et leur grâce passive est plaintive.
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Aussi, quand paraît celui-là
Qui sait leur âme et leur tristesse
Et l’infini d’extatique liesse
Où leur bruine solaire vola,
Dont l’apitoiement est sincère
Et se méle d’un peu d’amour,
Qui leur parle doucement, en mystère,
Les interroge, vient à leur secours,
Au fait de leurs délicates souffrances,
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