Page:Nau - Au seuil de l’espoir, 1897.djvu/100

Cette page n’a pas encore été corrigée

Au mur, le brusque arrêt d’or glauque fantastique
D’autres anolis morts, — d’éclair comme ceux-ci,
Tordit, un moment, pour son puéril souci,
Des chiffres fulgurants en bizarre gothique.



Ses yeux pers ont brillé derrière ces vol
Voletant, comme deux lucioles diurnes,
Des vils froufroutements de duveteux rubis
De L’oiseau-mouche aux verts rayons des colibi
Près des Heurs recelant des nectars dans leurs urnes,
Suivant, — dans la pénombre, en les glacis lustrés.
Les glissements du jour soyeux sur les feuillées,
Les éclipses de gros insectes mord.
Sous le bronze terni d’écorces fendillées, —
Ou les rampements lents, étirés et félins