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CHAPITRE VII.

ESPRIT

Il est essentiel à une véritable théorie de la nature et de l'homme de contenir quelque chose de progressif. Les usages qui sont épuisés ou qui peuvent être, et les faits qui finissent dans la déclaration, ne peuvent pas être tout ce qui est vrai de ce logement courageux où l'homme est hébergé, et où toutes ses facultés trouvent un exercice approprié et sans fin. Et tous les usages de la nature admettent d'être sommés en un, ce qui donne à l'activité de l'homme une portée infinie. Dans tous les royaumes, dans les faubourgs et dans les banlieues, elle est fidèle à la cause d'où elle a pris naissance. Il parle toujours de l'Esprit. Cela suggère l'absolu. C'est un effet perpétuel. C'est une grande ombre qui pointe toujours vers le soleil derrière nous.

L'aspect de la nature est dévot. Comme la figure de Jésus, elle se tient la tête penchée et les mains croisées sur la poitrine. Le plus heureux l'homme est celui qui apprend de la nature la leçon du culte.

De cette essence ineffable que nous appelons Esprit, celui qui pense le plus dira le moins. Nous pouvons prévoir Dieu dans les phénomènes grossiers et, pour ainsi dire,