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cela? Qui peut deviner combien de fermeté la roche battue par la mer a enseigné au pêcheur? Combien de tranquillité a été reflétée à l'homme par le ciel bleu azur, sur les profondeurs sans tache duquel les vents conduisent à jamais des troupeaux de nuages ​​orageux, et ne laissent aucune ride ni aucune tache? Combien d'industrie, de providence et d'affection avons-nous attrapé de la pantomime des brutes? Quel prédicateur fou de la maîtrise de soi est le phénomène variable de la santé!

Ici est particulièrement appréhendée l'Unité de la Nature, l'Unité dans la Variété, qui nous rencontre partout. Toute la variété infinie de choses fait une impression unique, identique. Xénophane s'est plaint dans sa vieillesse, que, regarde où il veut, tout est retourné à l'Unité. Il était las de voir la même entité dans la variété fastidieuse des formes. La fable de Protée a une vérité cordiale. Tout particulier dans la nature, une feuille, une goutte, un cristal, un moment du temps est relié au tout et participe de la perfection du tout. Chaque particule est un microcosme, et rend fidèlement la ressemblance du monde.

Il n'y a pas seulement des ressemblances dans des choses dont l'analogie est évidente, comme lorsque nous détectons le type de la main humaine dans la flipper d'un fossile de dinosaure, mais aussi dans des objets où il y a une grande dissemblance superficielle. Ainsi l'architecture est appelée «musique gelée» par De Staël et Goethe.