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— « Supposons qu’un mauvais jour, l’URSS ou les États-Unis vous réduisent à la servitude, que feront les financiers ? »

— « Ils sont certains que, s’ils ont assez d’argent, ils pourront composer avec les vainqueurs et s’en tirer. Que leur importe que nous soyons assujettis par la Russie ou un autre conquérant, pourvu qu’ils conservent leur fortune. L’essentiel pour eux, c’est d’être, comme disait un écrivain français, du bon côté, quand viendra le jour du balayage. »