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la question des consulats

ciaux au ministre des Affaires étrangères suédois. »

Ce langage du principal organe des classes aristocratiques en Suède prouve donc qu’il reconnaît sans honte, que la manière d’agir de M. Boström, en 1904, était ouvertement une rupture à une entente, ou, comme il l’exprime, « un retour à son ancien point de vue ».