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��SUITE PATHÉTIQUE
��LES EXILÉS
Je vais te prendre par la main !
Ne traîne pas tes pieds boudeurs dans le chemin. La poussière craque à nos dents. Sois raisonnable.
_ Elle ne Pavait pas dit pour te faire partir !
— Il faut te taire. Et compte les bornes franchies. Les volets curieux s'ouvrent quand nous passons. Regarde constamment devant toi.
- Quand tu fes retourné, au coin de la rue, ses rideaux tremblaient !
Je t'en supplie !
V heure est lourde à tomber sur la face... Mon cœur phe comme un enfant. Le jour chancelle dans les vergers.
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