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��, NOTES
��A partir du mois prochain, LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE publiera des Chroniques réguRères. M. Henri Ghéon parlera des poèmes, M. Jacques Copeau des romans, M. Jean Schlumberger du théâtre.
��LA BREBIS PERDUE, par Gabriel Trarieux (Comédie Française).
Dans la Brebis perdue nous avons retrouvé, assagies, objecti- vées, mais non flétries les solides qualités par lesquelles les premières pièces de M. Trarieux avaient su gagner la ferveur d'un public jeune qui cherche et qui se cherche. L'auteur de Sur la foi des étoiles a de l'ouverture d'esprit et de la gravité. La collaboration de Balzac lui a permis d'atteindre à un degré de force et de densité auquel il n'était pas encore parvenu. M. Trarieux pouvait emprunter au Curé de Village de grands tj'pes ; il semble qu'il se soit surtout attaché au sujet du livre ou plutôt au cas de conscience qui s'y trouve posé. M. Trarieux a moins le goût des grandes images que des problèmes moraux. La genèse même de sa pièce le prouve, puisqu'il nous dit n'avoir emprunté qu'après coup les noms et l'affabulation du roman de Balzac pour en revêtir des person- nages qu'indépendamment il avait conçus. Une telle rencontre
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