Page:NRF 5.djvu/698

Cette page n’a pas encore été corrigée

692 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE

Comme je suis heureux, mon cher ami, du ton de cette carte que tu m'as envoyée ! Où en es-tu maintenant ? Comment ça va-t-il chez Berlitz ? Quand vas-tu pouvoir me faire des rentes ? Tu m'avais dit qu'en automne Miette et tes enfants iraient te rejoindre. Quand je pense à toi j'appelle l'Europe " notre vieille Europe " et je la trouve bien en retard et d'une autre époque. Courage, vieux frère ! Je finirai bien par aller te rejoindre. Je t'embrasse bien fort.

Louis.

Ecris-moi de longues lettres, toi qui as quelque chose à dire.

�� �