Page:NRF 3.djvu/279

Cette page n’a pas encore été corrigée

LES "CHARLES BLANCHARD " 269

travail fut terminé, un peu de vent souffla et les clochettes se mirent à tinter. Il vit, un matin, Galand le maréchal, en compagnie de son ouvrier, battre le fer rouge, et une pluie d'étincelles autour de l'enclume jaillissait et rayonnait si belle qu'il se réjouit d'avoir vécu jusqu'à ce jour pour avoir pu la contempler.

�� �