248 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE
Splendeur sublime qui domine Vomhre^
Magnificence Ou se dilatent mes deux yeux ouverts.
Toutes les étoiles que la nuit pure fit éclore
En un calme inconnu
Composent V innombrable accord
D'argent clair^ d' argent nu ;
Et^ dans rimmensité
S'épand comme une ombre blanche la voie lactée.
O radieux effroi... désir innombrable !
— Admirer toutes ces étoiles
Une h une /...
Distinctes solitudes claires.
��Jouissance d'automne
A Mme Stevenin-Barbet.
Ce soir dans la tiédeur... Je sens que sa beauté Est un fiévreux mélange de maturités.
Peu à peu s'illumine et se prolonge
Ma nostalgie monotone
Où s harmonise le songe
D'un oriental automne ;
Ce soir, dans la tiédeur^ tandis que la beauté
Est un fiévreux mélange de maturités.
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