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VOLUTES I49

��II

��Quand je revois ta cuisse où le givre se colle, ô Diane de pierre, et le pli de ton sein, le temps que je n'allais pas encore à l'école vient reprendre sa course autour de ces bassins.

Chercher les pas de mon enfance, ô Tuileries l Vous défile^ toujours, gardes municipaux , mais il manque à T orgueil de vos cavaleries le casque et la blancheur des baudriers de peau.

Où flottent les rubans de vos coiffes, nourrices ? Fous dites qu'au printemps les orangers fleurissent ? C'est un plus jeune vieux qui charme les oiseaux.

Tandis que sur l'allée où la ronde s'est faite, tu suspends, chasseresse, une jambe parfaite, je pousse devant moi ces images, cerceaux.

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