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LES PARAMÈTRES 193

Claude a vu entrer chez Paul une femme élégante des- cendue d'une automobile. Le chauffeur était vêtu de blanc. Elle a planté là ses seaux, elle a tout dit à Irma. Amers reproches : on en serait venu aux coups sans la petite fille d'un voisin qui entra pour une bonne raison. Les sœurs l'ont assise entre elles, l'ont caressée.

Sur une espèce de fourrure, Paul regarde la visiteuse, qui rampe comme un serpent.

« Zéphie, tu es bien brune. Tu ressembles à ce jeune garçon l'autre jour dans le chemin des baies saignantes. Je vais te tordre le poignet. « 

Elle, crie.

Marie lave le linge, Roland passe. Elle crie quelque

chose qu'il ne comprend pas. Il s'approche. Elle s'aide à

lui pour se lever. Le voilà taché de savon. Ah bien, qu'a-

t-elle ?

Thomas refuse, rouge, de se prêter aux fantaisies de Marie. Puis cède. Il change de manières avec elle. Sans-gêne et plus galant.

Le soir il raconte les détails de l'affaire au cabaret du passeur. Irma et Claude se sont prises par la taille. Deux moissonneurs rient. La petite voisine entre.

Paul fait la planche dans l'O-se. Bonheur qui ne s'appar- tient plus, l'élément. Je n'ai plus de cheveux, ni vraiment de mains, avec pouce et ongles, etc. Songer au désir. Zéphie quand elle a trop bu, c'est le fleuve. La paresse qui est entre le matin et l'amour.

��De la berge, Roland regarde Paul dans l'eau, son caleçon blanc traversé par l'eau courante, n'oubliez pas qu'il fait la

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