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UNE SAISON EN ENFER 243

ma vie ^ serait toujours trop immense pour être dévouée à la force et à la beauté.

Le Bonheur ! Sa dent, douce à la mort, m'avertissait au chant du coq, — ad matutinum^ au Christus venit^ •— dans les plus sombres villes :

O saisons, ô châteaux * !

��Cela '^ s'est passé. Je sais aujourd'hui saluer la beauté.

��* Suite du texte précédent, p. 295. ' Voir page 295.

' P. 296. Ces mots qui viennent immédiatement après le poème: O saisons, ô châteaux ! forment la fin de V Alchimie du Verbe

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