236 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE
- CHANSON DE LA PLUS HAUTE TOUR ^
Je crus avoir trouvé raison et bonheur. J'écartais le ^ ciel, Tazur, qui est du noir, et je vivais étincelle d*or de la lumière Nature. C'était très sérieux. J'exprimais le plus bêtement
- iTERNITi '
Et pour comble De joie, je devins un opéra fabuleux
- AGE d'or*
A cette période^ c'était c'était ma vie éternelle, non écrite, non chantée, — quelque chose comme la Provi- dence à laquelle ^ on croit ^ et qui ne chante pas.
Après ces nobles minutes, stupidité complète. Je vis une fatalité de bonheur dans tous les êtres : l'action n'était qu'une façon ^ démonstrative de gâcher une activité ^ de vie : seulement^ moty je laissais en tâchant^ au hasard sinistre et doux, un énervement, déviation erreur. La nwrale était la faiblesse de la cervelle.
® êtres et toutes choses m'apparaissaient
d'autres vies autour d'elles. Ce monsieur
- La présence de ce titre précédé d'une étoile indique que les
vers le portant, pages 144 des Œuvres, devaient prendre place ici.
' Au dessus de la ligne : du.
' Ici devaient prendre place les vers qui figurent pages 142 et 143, des Œuvres.
- Voir pages 153, 154, 155 des Œuvres.
- Au dessus de la ligne : les lois du monde.
- Au dessus de la ligne : le silence.
' Au dessus de la ligne : pas la vie mais une.
- Au dessus de la ligne : sa vie.
" Déchirure.
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