Page:NRF 12.djvu/238

Cette page n’a pas encore été corrigée

232

��EBAUCHES

DÉLIRES II : ALCHIMIE DU VERBE

Enfin mon esprit devint ^

de Londres ou de Pékin ou*

qui disparurent pourris du

de réjouissance populaire. Voilà

des petits ^ comme des

J'aurais voulu le désert crayeux

J'adorai les boissons tiédes, les boutiques fanées, les vergers brûlés. Je restais de longues heures la langue pen- dante, comme les bêtes harassées : je me traînais dans les ruelles puantes, et les yeux fermés, je m'offrais au * soleil Dieu de feu, qu'il me renversât : " Général, roi, disais-je, si tu as encore un vieux canon sur tes remparts qui dégringolent, bombarde les hommes avec des morceaux de terre sèche. Aux glaces des magasins splendides ! Dans

les salons frais ! Que les araignées à la Fais

manger sa poussière à la ville ! Oxyde les gargouilles. A l'heure . . . . du ^ sable de rubis les

' Déchirure. Les points indiquent que les lignes continuaient.

  • Mots barrés sur le brouillon. Dans la suite tous les mots en

italiques représentent des mots barrés.

  • Au dessus de la ligne : fourmille.
  • Mots ajoutés au dessus de la ligne, puis barrés : priais le.

' Au dessus de la ligne : boudoirs brûlants. — Au dessous de la ligne : emplis.

�� �